Prospérité

En résumé

  • Le secteur financier est plus solide aujourd’hui qu’il ne l’était avant la crise financière. Ainsi, entre l’été 2007 et mars 2012, il a ramené son effet de levier de 31,9 à 18,3.
  • Les Belges sont de grands épargnants : septembre 2012, l’encours des carnets d’épargne atteignait 230,2 milliards EUR.
  • A chaque euro supplémentaire issu de l’épargne correspond un investissement d’un euro en crédits aux ménages, aux entreprises et aux pouvoirs publics.
  • Ces derniers mois, la demande de crédit se contracte et l’octroi de crédit tend à se stabiliser.
  • A terme, Bâle III pourrait avoir un impact sur la disponibilité et le prix des crédits à long terme.
  • En 2011, les exportations belges ont noté une progression sensible, grâce notamment au financement efficace des entreprises par le secteur financier.